Même si son salon de coiffure fermera à la fin du mois, Renaud Abel a d’ores et déjà commencé à vider les lieux.
Le 26 avril prochain, Renaud Abel fermera définitivement son salon de coiffure « Antikhair », situé au 5 rue de la Bolle à Saint-Dié-des-Vosges. Un chapitre de 28 ans qui se tourne pour le Déodatien, qui ne compte cependant pas se tourner les pouces. Ce serait bien mal le connaître.
Une décision mûrement réfléchie, depuis maintenant 2 ans. « A l’époque, quand je me suis installé ici, la rue était commerçante. Ce n’est plus du tout le cas aujourd’hui. Mais c’est également le cas dans de nombreux autres centres-villes. J’ai apporté ma pierre à l’édifice du commerce à Saint-Dié-des-Vosges, j’ai assez donné. C’est une grande page qui se tourne, avec ses bons et mauvais moments. Mais c’était globablement une page bien sympathique » explique Renaud Abel, qui va poursuivre son activité de brocanteur.
Car si la coiffure est une passion, la brocante est une autre depuis maintenant une vingtaine d’années. Le Déodatien va donc continuer à sillonner la France pour participer à de nombreuses brocantes, comme celle de Chambord, la foire aux puces de Crèvecoeur-le-Grand ou la grande braderie de Lille.
En parallèle, Renaud Abel va lancer prochainement, d’ici le mois de juin, une activité commune avec sa femme Delphine autour de la décoration, intérieure comme extérieure. « On aura un showroom directement dans notre maison » précise le désormais brocanteur à temps plein, sans en dévoiler davantage.
Quant aux « Hivernales de la brocante » de Saint-Dié-des-Vosges, Renaud Abel compte continuer à organiser ce grand rendez-vous bi-annuel des brocanteurs, « au moins jusqu’en 2026 ». Il n’exclut pas également de contribuer à d’autres animations déodatiennes à l’avenir.
Et de conclure le chapitre des 28 années de son salon de coiffure sur le ton de l’humour. « J’ai fait le tour du commerce à Saint-Dié-des-Vosges, étant commerçant au centre-ville pendant près de 30 ans et étant président-fondateur de l’UDAC. La prochaine étape, c’est la politique ! »
J.J.
Même si son salon de coiffure fermera à la fin du mois, Renaud Abel a d’ores et déjà commencé à vider les lieux.
Le 26 avril prochain, Renaud Abel fermera définitivement son salon de coiffure « Antikhair », situé au 5 rue de la Bolle à Saint-Dié-des-Vosges. Un chapitre de 28 ans qui se tourne pour le Déodatien, qui ne compte cependant pas se tourner les pouces. Ce serait bien mal le connaître.
Une décision mûrement réfléchie, depuis maintenant 2 ans. « A l’époque, quand je me suis installé ici, la rue était commerçante. Ce n’est plus du tout le cas aujourd’hui. Mais c’est également le cas dans de nombreux autres centres-villes. J’ai apporté ma pierre à l’édifice du commerce à Saint-Dié-des-Vosges, j’ai assez donné. C’est une grande page qui se tourne, avec ses bons et mauvais moments. Mais c’était globablement une page bien sympathique » explique Renaud Abel, qui va poursuivre son activité de brocanteur.
Car si la coiffure est une passion, la brocante est une autre depuis maintenant une vingtaine d’années. Le Déodatien va donc continuer à sillonner la France pour participer à de nombreuses brocantes, comme celle de Chambord, la foire aux puces de Crèvecoeur-le-Grand ou la grande braderie de Lille.
En parallèle, Renaud Abel va lancer prochainement, d’ici le mois de juin, une activité commune avec sa femme Delphine autour de la décoration, intérieure comme extérieure. « On aura un showroom directement dans notre maison » précise le désormais brocanteur à temps plein, sans en dévoiler davantage.
Quant aux « Hivernales de la brocante » de Saint-Dié-des-Vosges, Renaud Abel compte continuer à organiser ce grand rendez-vous bi-annuel des brocanteurs, « au moins jusqu’en 2026 ». Il n’exclut pas également de contribuer à d’autres animations déodatiennes à l’avenir.
Et de conclure le chapitre des 28 années de son salon de coiffure sur le ton de l’humour. « J’ai fait le tour du commerce à Saint-Dié-des-Vosges, étant commerçant au centre-ville pendant près de 30 ans et étant président-fondateur de l’UDAC. La prochaine étape, c’est la politique ! »
J.J.
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